Résultats De La Banque HSBC Canada Pour Le Troisième Trimestre De 2021

Banque HSBC Canada

Linda Seymour, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada, a fait la déclaration suivante :

« Le bénéfice du trimestre a largement dépassé celui dégagé un an plus tôt, ce qui représente en soi une nette amélioration par rapport aux deux premiers trimestres de 2020. Le niveau d’activité et les produits de tous nos secteurs d’activité ont progressé, la hausse des volumes des acceptations bancaires, des fonds d’investissement sous gestion et des commissions générées par les services-conseils ayant été particulièrement forte, et le bénéfice de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers a atteint son plus haut niveau depuis 2012.

Nos clients sont vraiment reconnaissants de tout ce que nos équipes font pour les soutenir, et je le suis également. Ils se demandent également comment nous pouvons les aider à bâtir un avenir sobre en carbone. Au cours du trimestre écoulé, nous avons lancé cinq nouveaux produits de financement du commerce durable destinés aux entreprises de toute taille, dont des dépôts verts – une première sur le marché – ainsi que des solutions de financement des véhicules électriques et d’améliorations de l’efficacité énergétique pour le domicile des particuliers. Nous continuerons d’innover afin d’aider nos clients, en leur offrant les services numériques, les ressources internationales ainsi que les produits de financement du commerce durable dont ils ont besoin. »

Aperçu¹

• Le bénéfice avant la charge d’impôt a atteint 234 M$ pour le trimestre, ayant augmenté de 77 M$, ou 49 %, et il s’est chiffré à 725 M$ pour la période de neuf mois, ce qui rend compte d’une progression de 481 M$, ou 197 %. Poursuivant sur la lancée amorcée au deuxième semestre de 2020, le bénéfice avant la charge d’impôt de tous nos secteurs d’activité mondiaux s’est amélioré pour la période de neuf mois. La forte hausse du bénéfice avant la charge d’impôt et du total du résultat d’exploitation est comparable à celle réalisée en 2019, avant la pandémie.
• Le total du résultat d’exploitation de 560 M$ pour le trimestre et de 1 636 M$ pour la période de neuf mois signale des hausses respectives de 88 M$, ou 19 %, et de 116 M$, ou 7,6 %, sur un an. L’accroissement des marges d’intérêts nettes et des prêts s’est traduit par la montée des produits d’intérêts nets, et l’essor des volumes et des activités des clients a favorisé le renforcement des produits de commissions, tandis que les produits de négociation ont fléchi.
• La variation des pertes de crédit attendues a consisté en une charge de 3 M$ pour le trimestre et en une reprise de 53 M$ pour la période de neuf mois, comparativement à une reprise de 2 M$ et à une charge de 328 M$, respectivement, pour les périodes correspondantes de l’exercice précédent.
• Le total des charges d’exploitation s’est accru de 6 M$, ou 1,9 %, pour le trimestre et de 16 M$, ou 1,7 %, pour la période de neuf mois, car nous avons procédé à des investissements stratégiques afin de faire croître nos secteurs d’activité et d’instaurer un modèle de travail hybride, tout en gérant nos coûts avec prudence.

Principales mesures financières au 30 septembre 2021 :

• Total de l’actif : 121,1 G$ (117,3 G$ au 31 décembre 2020)
• Ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 1 : 14,0 % (13,7 % au 31 décembre 2020)
• Ratio du capital de catégorie 1 : 16,8 % (16,4 % au 31 décembre 2020)
• Ratio du capital total² : 19,4 % (19,0 % au 31 décembre 2020)
• Rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire^{2, 3} : 11,5 % (3,6 % au 30 septembre 2020)

Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement.

1. Comparaison du trimestre et de la période de neuf mois clos le 30 septembre 2021 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).
2. Pour évaluer sa performance, la banque utilise, entre autres, des mesures financières dérivées des résultats qu’elle publie. Or, ces mesures ne sont ni présentées dans les états financiers consolidés ni définies aux termes des Normes internationales d’information financière (les « IFRS »). Elles sont considérées comme non conformes aux principes comptables généralement reconnus (les « PCGR »); il est donc improbable qu’elles soient comparables à des mesures semblables présentées par d’autres entreprises. Pour plus d’informations au sujet des mesures non conformes aux PCGR, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Utilisation de mesures financières non conformes aux PCGR » du rapport de gestion qui est joint aux états financiers consolidés résumés intermédiaires non audités du trimestre clos le 30 septembre 2021.
3. Comparaison de la période de neuf mois close le 30 septembre 2021 et de la période correspondante de l’exercice précédent.

Analyse des résultats financiers consolidés du troisième trimestre clos le 30 septembre 2021¹

Les produits d’intérêts nets se sont chiffrés à 315 M$ pour le trimestre, ayant augmenté de 71 M$, ou 29 %, en regard de ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent, par suite de l’amélioration des marges qu’ont permise la réduction des volumes des passifs portant intérêt et la croissance des prêts, facteurs atténués par une diminution des placements financiers générant de plus faibles rendements. Les produits d’intérêts nets se sont établis à 903 M$ pour la période de neuf mois, en hausse de 92 M$, ou 11 %. Cette hausse provient des facteurs énoncés ci-dessus, lesquels ont été contrebalancés en partie par la compression des marges au premier trimestre de 2021 en regard de celles dégagées un an plus tôt, compression causée par les réductions de taux par les banques centrales en 2020.

Les produits de commissions nets du trimestre se sont chiffrés à 197 M$, ce qui représente une amélioration de 25 M$, ou 15 %, sur un an, laquelle a découlé principalement de la montée des commissions tirées des facilités de crédit par suite de l’augmentation des volumes des acceptations bancaires des Services aux entreprises, de la hausse des fonds d’investissement sous gestion de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et de l’amélioration des commissions générées par les services-conseils des Services bancaires internationaux et marchés. L’intensification des activités au chapitre des cartes de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et des Services aux entreprises a également favorisé l’amélioration précitée. Ces facteurs ont été annulés en partie par une hausse des charges de commissions connexes. Pour la période de neuf mois, les produits de commissions nets se sont situés à 589 M$, ayant augmenté de 61 M$, ou 12 %. Pour cette période, aux hausses indiquées pour le trimestre s’est ajoutée l’intensification des activités de courtage en ligne de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers.

Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction du trimestre se sont chiffrés à 26 M$, ayant fléchi de 3 M$, ou 10 %, en regard de ceux constatés à la même période un an plus tôt. Leur diminution a découlé principalement des variations défavorables des ajustements de crédit et des ajustements de la juste valeur liés au financement ainsi que du repli des produits d’intérêts nets sur les activités de négociation à cause du recul des taux d’intérêt. Ces baisses ont été atténuées par l’intensification des activités de négociation. Pour la période de neuf mois, les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction ont totalisé 84 M$, ayant reculé de 18 M$, ou 18 %, ce qui a résulté de la diminution des produits d’intérêts nets à cause de la baisse des taux d’intérêt et du ralentissement des activités de négociation de la sous-division chargée des taux. Ces facteurs ont été neutralisés en partie par des hausses provenant essentiellement de la moins forte volatilité des marchés et du resserrement des écarts de crédit.

Les autres éléments de produits du trimestre se sont situés à 22 M$, s’étant affaiblis de 5 M$, ou 19 %, comparativement à ce qu’ils étaient au trimestre correspondant de 2020, à cause de la baisse des profits réalisés à la cession de placements financiers par suite du rééquilibrage du portefeuille d’actifs liquides de la banque. Pour la période de neuf mois, les autres éléments de produits ont été de 60 M$, s’étant contractés de 19 M$, ou 24 %, en raison de la dégradation des profits dont il est fait mention ci‑dessus ainsi que du fait qu’un an plus tôt, ils tenaient compte d’un profit lié à l’extinction de la dette associée aux débentures subordonnées qui avaient été rachetées.

La variation des pertes de crédit attendues pour le troisième trimestre de 2021 a consisté en une charge de 3 M$, comparativement à une reprise de 2 M$ pour la période correspondante de l’exercice précédent. La charge constatée au trimestre à l’étude est associée à deux prêts non productifs dans le secteur de l’énergie. Ce facteur a été annulé en partie par une reprise liée aux prêts productifs, les variables macroéconomiques prospectives s’étant encore améliorées. La reprise constatée au troisième trimestre de 2020 avait résulté essentiellement de l’amélioration de ces variables à l’égard des prêts productifs, ce qui avait été atténué par des pertes de valeur liées à des prêts non productifs dans les secteurs de l’énergie, du transport et de la construction.

Pour la période de neuf mois, la variation des pertes de crédit attendues a consisté en une reprise de 53 M$, en regard d’une charge de 328 M$ pour la même période un an plus tôt. La reprise inscrite pour les neuf mois à l’étude a résulté de l’amélioration des variables macroéconomiques prospectives liées aux prêts productifs, facteur neutralisé en partie par des pertes de valeur liées à deux prêts non productifs dans le secteur de l’énergie. Pour la période de neuf mois en 2020, la charge avait résulté principalement de l’accroissement des provisions constituées à l’égard des prêts productifs à cause des conséquences de la pandémie ainsi que des pertes de valeur liées aux prêts non productifs par suite du recul des prix du pétrole au premier semestre de 2020.

Le total des charges d’exploitation s’est établi à 323 M$ pour le trimestre, ayant monté de 6 M$, ou 1,9 %, sur un an. Pour la période de neuf mois, le total des charges d’exploitation a atteint 964 M$, ayant augmenté de 16 M$, ou 1,7 %. L’augmentation inscrite au trimestre a résulté principalement des coûts associés aux investissements stratégiques que nous avons effectués pour faire croître nos secteurs d’activité, simplifier nos processus et offrir les services numériques que nos clients demandent. La hausse enregistrée pour la période de neuf mois a découlé surtout des coûts engagés en vue de l’adoption d’un modèle de travail hybride, de la perte de valeur de certains actifs logiciels et des coûts liés à nos investissements stratégiques. Ces facteurs ont été compensés en partie par une diminution des coûts discrétionnaires en réaction au contexte économique prévalant alors.

En ce qui concerne la charge d’impôt sur le résultat, le taux d’imposition effectif du troisième trimestre de 2021 a été de 27,2 %, ce qui dépasse le taux prévu par la loi, à savoir 26,5 %, et reflète l’augmentation des passifs d’impôt. Pour le troisième trimestre de 2020, le taux d’imposition effectif avait été de 28,1 %.

1. Comparaison du trimestre et de la période de neuf mois clos le 30 septembre 2021 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).

Dividendes

Dividendes déclarés au troisième trimestre de 2021

Au cours du troisième trimestre de 2021, la banque a déclaré, pour ce trimestre, des dividendes trimestriels réguliers de 11 M$ sur toutes ses séries d’actions privilégiées de catégorie 1 en circulation ainsi qu’un deuxième dividende intermédiaire de 100 M$ sur ses actions ordinaires pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2021.

Dividendes déclarés au quatrième trimestre de 2021

Le 22 octobre 2021, la banque a déclaré, pour le quatrième trimestre de 2021, des dividendes trimestriels réguliers sur toutes ses séries d’actions privilégiées de catégorie 1 en circulation. Ces dividendes seront versés, conformément à leurs modalités et de la façon habituelle, le 31 décembre 2021 ou le premier jour ouvrable suivant, à l’actionnaire inscrit le 15 décembre 2021.

Le 22 octobre 2021, la banque a également déclaré, pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2021, un troisième dividende intermédiaire de 80 M$ sur ses actions ordinaires, dividende qui sera versé au plus tard le 31 décembre 2021 à l’actionnaire inscrit le 22 octobre 2021.

Puisque les dividendes trimestriels sur les actions privilégiées pour le quatrième trimestre de 2021 et le troisième dividende intermédiaire sur les actions ordinaires pour 2021 ont été déclarés après le 30 septembre 2021, leur montant n’a pas été inscrit au passif du bilan.

Résultats des secteurs d’activité pour le troisième trimestre clos le 30 septembre 2021¹

Services aux entreprises (« SE »)

Le total du résultat d’exploitation s’est chiffré à 268 M$ pour le troisième trimestre de 2021, s’étant renforcé de 45 M$, ou 20 %, sur un an et celui de la période de neuf mois a atteint 761 M$, ayant progressé de 43 M$, ou 6 %. Les SE ont conservé leur élan en 2021, les prêts et les acceptations ayant augmenté de 2,1 G$ dans les neuf premiers mois, et les soldes des dépôts s’étant encore nettement accrus en regard de ceux enregistrés un an plus tôt. Les produits d’intérêts nets se sont raffermis grâce à l’accroissement des volumes et au redressement des marges. De même, les produits autres que d’intérêts ont progressé, les volumes des acceptations bancaires ayant monté et les activités des clients en ce qui a trait aux produits de change et aux cartes s’étant intensifiées. Les résultats de la période de neuf mois ont cependant été affaiblis par le repli des marges sur les dépôts, en regard de ce qu’elles étaient un an auparavant, qu’ont causé les réductions de taux par les banques centrales en 2020.

Notre ambition est de demeurer le partenaire financier international de prédilection pour nos clients et de les aider à réaliser leurs projets de transition vers une économie carboneutre. Tirant parti de notre réseau international et grâce à des investissements continus dans nos principales plateformes du Service mondial de gestion des liquidités et de la trésorerie (« SMGLT ») et du Commerce international et financement des comptes clients (« CIFCC »), nous sommes parfaitement en mesure d’aider nos clients à combler leurs besoins en services bancaires au pays et à l’étranger. Au troisième trimestre, nous avons continué d’enrichir notre gamme d’instruments financiers écologiques, lançant notamment cinq nouveaux produits de financement durable des SE : dépôts verts, financement du commerce durable, facilités de crédit renouvelables vertes, prêts liés au développement durable et financement d’équipement vert. Concurremment, nous avons poursuivi nos investissements dans l’amélioration de l’expérience numérique de notre clientèle tout en veillant à la sécurité de nos activités et au maintien de notre résilience, et nous sommes prêts à guider nos clients sur la voie de la reprise.

Pour le troisième trimestre de 2021, le bénéfice avant la charge d’impôt s’est dégagé à 169 M$, s’étant amélioré de 41 M$, ou 32 %, sur un an, et pour la période de neuf mois, il s’est chiffré à 511 M$, ayant bondi de 350 M$, ou 217 %, ce qui a résulté surtout d’une forte baisse des pertes de crédit attendues, d’une augmentation du résultat d’exploitation et du recul des charges d’exploitation.

Services bancaires internationaux et marchés (« SBIM »)

Le total du résultat d’exploitation a été de 78 M$ pour le troisième trimestre de 2021, s’étant renforcé de 6 M$, ou 8,3 %, sur un an, mais il a fléchi de 14 M$, ou 5,6 %, pour la période de neuf mois, s’établissant ainsi à 235 M$. Les activités de l’unité Services bancaires internationaux ont fortement rebondi en 2021. Les commissions générées par les services-conseils ont augmenté tant pour le trimestre que pour la période de neuf mois, et les produits tirés des prêts se sont accrus étant donné que les marges sont demeurées supérieures à celles des mêmes périodes un an plus tôt. Ce facteur a cependant été annulé par la compression des marges sur les dépôts qu’ont causée les réductions de taux par les banques centrales en 2020. Les produits de l’unité Marchés ont été inférieurs à ceux constatés un an auparavant, ce qui a découlé du recul des ventes et des volumes de négociation associés aux activités concernant les produits de change, les taux et le crédit. Ce facteur a été compensé en partie par des variations favorables de certains écarts de crédit, les marchés financiers ayant poursuivi leur redressement après l’éclosion de la COVID-19.

Les SBIM conservent leur stratégie qui est bien établie, à savoir offrir des solutions bancaires de gros sur mesure, tirant ainsi parti du vaste réseau de distribution de la HSBC pour offrir des produits et des solutions qui répondent aux besoins de nos clients internationaux.

Comme l’économie canadienne est toujours en voie de se relever de la pandémie, nos équipes des Services bancaires internationaux et marchés continuent de travailler en étroite collaboration avec nos clients afin de comprendre les défis uniques auxquels ils sont confrontés et de les seconder dans leurs efforts pour renouer avec la croissance et dans leurs plans de transition vers une économie carboneutre.

Le bénéfice avant la charge d’impôt du troisième trimestre de 2021 s’est dégagé à 33 M$, s’étant affaibli de 14 M$, ou 30 %, sur un an. Pour la période de neuf mois, il s’est chiffré à 140 M$, ce qui traduit une amélioration de 47 M$, ou 51 %. La baisse enregistrée au trimestre a découlé principalement de la hausse de la charge au titre des pertes de crédit attendues, hausse compensée en partie par l’amélioration du résultat d’exploitation. Pour la période de neuf mois, la progression du bénéfice avant la charge d’impôt provient principalement de la réduction de la charge au titre des pertes de crédit attendues sur les prêts productifs du fait de l’amélioration des données macroéconomiques prospectives ainsi que de la baisse des charges d’exploitation qu’a permise une gestion prudente des coûts. Ces facteurs ont été atténués par le recul du résultat d’exploitation.

Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »)

À 212 M$, le total du résultat d’exploitation du troisième trimestre de 2021 s’est renforcé de 24 M$, ou 13 %, sur un an. Pour la période de neuf mois, il s’est situé à 628 M$, ce qui correspond à une hausse de 53 M$, ou 9,2 %. Ces augmentations ont découlé de la forte progression des volumes associés au solde de la relation globale des clients², du niveau record³ des activités des clients du courtage en ligne et d’un changement favorable dans la composition des produits, ce qui a été annulé en partie par la contraction des marges sur les dépôts par suite des réductions de taux par les banques centrales en 2020. Les résultats des mêmes périodes de l’exercice précédent tenaient également compte d’une hausse des coûts associée au maintien de liquidités plus importantes. L’augmentation du solde de la relation globale des clients² a résulté du niveau record³ des ventes nettes au chapitre des fonds d’investissement sous gestion et des prêts garantis par des biens immobiliers.

Nous avons élargi l’ensemble de notre clientèle et celle à l’échelle internationale, car nous investissons toujours dans nos canaux de distribution ainsi que dans des produits compétitifs sur le marché. Le fait d’avoir encore axé nos efforts sur les besoins des clients et sur les perfectionnements d’ordre numérique afin d’améliorer l’expérience client nous a aidés à remporter le prix Expérience client exceptionnelle en gestion de patrimoine dans le cadre des Global Private Banking Innovation Awards 2021.

Exclusion faite de 2012, où les résultats tenaient compte d’un profit non récurrent, le bénéfice avant la charge d’impôt pour la période de neuf mois close le 30 septembre 2021 a atteint un nouveau sommet³. Pour le troisième trimestre de 2021, ce bénéfice s’est dégagé à 52 M$, ayant bondi de 40 M$, ou 333 %, sur un an et pour la période de neuf mois, il a été de 143 M$, s’étant raffermi de 88 M$, ou 160 %. Ces hausses sont essentiellement imputables à l’amélioration du résultat d’exploitation et à une diminution des pertes de crédit attendues, facteurs neutralisés en partie par la montée des charges d’exploitation.

Centre général

Une perte avant la charge d’impôt de 20 M$ a été constatée pour le troisième trimestre de 2021, ce qui traduit une amélioration de 10 M$ en regard de celle du troisième trimestre de 2020. Pour la période de neuf mois, la perte avant la charge d’impôt a été de 69 M$, ayant augmenté de 4 M$ comparativement à ce qu’elle était un an auparavant. Cette augmentation a découlé essentiellement de la hausse des charges d’exploitation qu’a causée le coût des initiatives visant à favoriser la croissance à venir et la transition vers un modèle de travail hybride ainsi que du repli des produits autres que d’intérêts étant donné qu’un profit avait été enregistré un an plus tôt en lien avec l’extinction de la dette associée aux débentures subordonnées qui avaient été rachetées. Ces facteurs ont été annulés en partie par une diminution des coûts associés aux liquidités, ce qui a favorisé une hausse des produits d’intérêts nets.

1. Comparaison du trimestre et de la période de neuf mois clos le 30 septembre 2021 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire).
2. Le solde de la relation globale des clients se compose des soldes des prêts, des dépôts et des comptes de gestion de patrimoine.
3. Record pour une période de neuf mois depuis la formation de GPSBP en tant que secteur d’activité mondial distinct en 2011.

(Montants en M$, sauf indication contraire)

Performance et situation financières

Mesures financières et mesures du capital

1. Pour évaluer sa performance, la banque utilise, entre autres, des mesures financières dérivées des résultats qu’elle publie. Or, ces mesures ne sont ni présentées dans les états financiers consolidés ni définies aux termes des Normes internationales d’information financière (les « IFRS »). Elles sont considérées comme non conformes aux principes comptables généralement reconnus (les « PCGR »); il est donc improbable qu’elles soient comparables à des mesures semblables présentées par d’autres entreprises. Pour plus d’informations au sujet des mesures non conformes aux PCGR, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Utilisation de mesures financières non conformes aux PCGR » du rapport de gestion qui est joint aux états financiers consolidés résumés intermédiaires non audités du trimestre clos le 30 septembre 2021.
2. La banque évalue l’adéquation de ses fonds propres en fonction de normes issues des lignes directrices émises par le Bureau du surintendant des institutions financières (le « BSIF ») conformément au cadre d’adéquation des fonds propres de Bâle III.
3. La mention « s. o. » est indiquée lorsque la banque est en position de reprise nette, ce qui donne lieu à un ratio négatif.
4. Le ratio de liquidité à court terme (« LCR ») indiqué dans ce tableau a été calculé à partir des moyennes des chiffres à la clôture de chaque mois du trimestre.

Renseignements relatifs à la Banque HSBC Canada
La Banque HSBC Canada, filiale de HSBC Holdings plc, est le chef de file des banques internationales au pays. Nous aidons des entreprises et des particuliers partout au Canada à faire des affaires et à gérer leurs finances à l’échelle mondiale par l’entremise de trois secteurs d’activité mondiaux, soit les Services aux entreprises, les Services bancaires internationaux et marchés et Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers. Le siège social de HSBC Holdings plc, est à Londres, au Royaume-Uni et celle-ci sert des clients du monde entier à partir de ses bureaux répartis dans 64 pays et territoires en Europe, en Asie, dans les Amériques, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Elle est l’un des plus importants établissements de services bancaires et financiers au monde, ses actifs totalisant 2 969 G$ US au 30 septembre 2021.

Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.hsbc.ca ou suivez-nous sur Twitter : @HSBC_CA ou sur Facebook : @HSBCCanada.

Mise en garde concernant les énoncés prospectifs
Le présent document renferme des informations prospectives, dont des énoncés concernant les activités et projets futurs de la banque. Ces énoncés se caractérisent par le fait qu’ils ne reposent pas strictement sur des données ou événements passés ou en cours. Des énoncés prospectifs renferment souvent des termes ou expressions comme « prévoir », « estimer », « s’attendre à », « projeter », « avoir l’intention de », « planifier » et « croire », ainsi que des mots ou expressions similaires qui sont employés pour décrire le rendement financier ou opérationnel à venir. De par leur nature même, ces énoncés nous obligent à poser plusieurs hypothèses et sont assujettis à divers risques et incertitudes qui leur sont inhérents et qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement de ceux envisagés dans les énoncés prospectifs. Nous prions le lecteur de ne pas se fier indûment à ces énoncés puisque de nombreux facteurs de risque pourraient donner lieu à des résultats réels nettement différents des attentes exprimées par les énoncés. Dans le rapport de gestion figurant dans le Rapport et états financiers annuels 2020, la rubrique « Gestion des risques » décrit les principaux risques auxquels la banque est exposée, risques qui, s’ils ne sont pas gérés comme il se doit, pourraient influer grandement sur ses résultats financiers à venir. Ces risques comprennent les risques de crédit, de gestion du capital, de liquidité et de financement ainsi que de marché, le risque lié à la résilience, le risque de non-conformité à la réglementation, le risque lié aux crimes financiers, le risque lié aux modèles et le risque lié à la caisse de retraite. Les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent nettement des attentes exprimées par les énoncés prospectifs comprennent la conjoncture économique dans son ensemble et les conditions de marché, les politiques budgétaires et monétaires, les modifications des lois, de la réglementation et de l’approche de supervision, le degré de concurrence et les technologies de rupture, les cybermenaces et l’accès non autorisé aux systèmes, les modifications de nos notations de crédit, le risque lié aux changements climatiques, dont les conséquences des risques de transition et des risques matériels, la transition visant les taux interbancaires offerts (« TIO ») ainsi que d’autres risques comme les changements touchant les normes comptables, les changements de taux d’imposition, les changements de lois et règlements fiscaux et leur interprétation par les autorités fiscales, le risque de fraude de la part d’employés ou d’autres parties, les transactions non autorisées et réalisées par le personnel et l’erreur humaine. Notre capacité à concrétiser nos priorités stratégiques et à gérer de manière proactive les exigences du cadre réglementaire dépend du perfectionnement et de la fidélisation de nos cadres dirigeants et de nos employés les plus performants. Demeurer en mesure de recruter, de perfectionner et de conserver à notre emploi du personnel compétent dans un marché du travail touché par la pandémie de COVID-19 se révèle difficile. Nous surveillons les risques liés aux ressources humaines en veillant à la santé mentale et au bien-être de nos employés, surtout en ces temps de pandémie. Malgré les plans d’urgence que nous avons instaurés afin d’assurer notre résilience advenant des perturbations opérationnelles à la fois prolongées et majeures, notre capacité d’exercer nos activités pourrait souffrir d’une défaillance dans les infrastructures qui soutiennent nos activités et les collectivités avec lesquelles nous faisons des affaires, incluant, sans toutefois s’y limiter, une défaillance provoquée par une urgence de santé publique, une pandémie, une catastrophe écologique ou un acte terroriste. La rubrique « Facteurs susceptibles d’avoir une incidence sur les résultats futurs » du rapport de gestion figurant dans le Rapport et états financiers annuels 2020 renferme une description de ces facteurs de risque. Nous tenons à aviser le lecteur que la liste de facteurs de risque présentée ci-dessus n’est pas exhaustive et qu’il se peut que d’autres incertitudes et facteurs éventuels non mentionnés aux présentes nuisent à nos résultats et à notre situation financière. Tout énoncé prospectif paraissant dans ce document n’est valable qu’en date de celui-ci. Nous ne nous engageons nullement à réviser, à mettre à jour ou à modifier les énoncés prospectifs en raison de nouvelles informations, d’événements ultérieurs ou d’autres circonstances, et nous déclinons expressément toute obligation de le faire, sauf dans la mesure où les lois pertinentes sur les valeurs mobilières nous y contraignent.

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